La proposition de la CPME de généraliser l’impôt sur le revenu pour inclure tous les foyers soulève de nombreuses interrogations au sein des acteurs économiques, des syndicats et des organisations patronales. Ce projet, qui vise à rendre l’impôt plus équitable, ne passe pas inaperçu dans un contexte économique tendu et en pleine mutation. La réflexion s’appuie sur des analyses approfondies et des retours d’expérience diversifiés, notamment ceux de CFE-CGC, MEDEF, CGPME, U2P, CFTC, FNSEA, Confédération des PME, APCE, Union des entreprises de proximité et FNMV.
La CPME et la généralisation de l’impôt sur le revenu : vision et enjeux pour CFE-CGC
La CPME a récemment proposé une refonte audacieuse de l’impôt sur le revenu en incluant tous les foyers. L’objectif affiché est d’instaurer une contribution universelle et de réduire les disparités fiscales existantes. Cette idée, si elle était mise en œuvre, aurait des répercussions significatives sur l’ensemble de l’économie. Des organisations telles que CFE-CGC et MEDEF suivent de près cette proposition, consciente qu’elle pourrait redéfinir les règles du jeu fiscal.
Au cœur de cette initiative se trouve la volonté de sortir du schéma actuel où seuls certains foyers contribuent de manière effective. La perspective d’un impôt universel vise à renforcer la solidarité nationale et à simplifier le système fiscal. Il s’agit, par exemple, d’en finir avec des mécanismes souvent perçus comme inégalitaires ou trop complexes. Dans ce contexte, la CPME ne manque pas d’appuyer ses arguments sur des références économiques pertinentes et des exemples historiques. Certains médias l’ont déjà couvert avec attention, comme un article économique détaillé qui met en lumière les débats actuels.
L’idée est d’instaurer une règle de contribution qui ne tienne pas compte de certains privilèges fiscaux. Ceci entraînerait de nombreux changements pour les contribuables, mais offrirait également une opportunité de repenser la justice fiscale. Pour illustrer cette idée, voici quelques éléments clés de la proposition :
- Uniformisation : Chaque foyer serait appelé à contribuer selon un barème unique.
- Simplification administrative : La suppression de certaines niches fiscales trop complexes, ce qui permettrait de réduire les coûts de gestion.
- Solidarité renforcée : Un système où chacun, y compris les foyers modestes, participerait à hauteur de ses moyens.
Les débats sont vifs dans les divers cercles de réflexion économique. Des syndicats et fédérations, tels que la CFTC ou la FNSEA, commencent déjà à discuter des modalités pratiques d’une telle réforme. Ils insistent sur la nécessité d’une transition en douceur et d’une communication transparente avec les citoyens.
Certains analystes avancent que cette mesure pourrait également contribuer à une meilleure redistribution des richesses, en alignant le système fiscal sur des principes de justice sociale. Les responsables politiques, ainsi que des organes consultatifs, voient dans cette proposition une opportunité de moderniser le système fiscal français.
Pour illustrer concrètement l’impact potentiel d’un tel dispositif, il est utile de se pencher sur une comparaison chiffrée entre le système actuel et le modèle envisagé :
Critère | Impôt actuel | Impôt universel proposé |
---|---|---|
Simplicité administrative | Complexe avec de nombreuses niches | Plus lisible et uniforme |
Justice sociale | Inégalités d’accès aux déductions | Contribution harmonisée pour tous |
Coûts de gestion | Élevés pour l’administration fiscale | Réduction des coûts grâce à l’universalité |
Un autre point d’intérêt est la perspective d’un nouveau modèle fiscal qui profiterait à l’ensemble de la société. Cette vision se veut un outil de transformation économique, en phase avec les aspirations des acteurs économiques. Notons que des initiatives similaires ont été discutées dans d’autres pays, ce qui permet d’en tirer des enseignements intéressants pour la France.
En résumé, la proposition de généraliser l’impôt sur le revenu est une idée révolutionnaire qui suscite un large débat parmi les institutions économiques et les syndicats. En intégrant des acteurs tels que CFE-CGC et MEDEF, la réforme pourrait trouver un terrain d’entente entre modernité et justice sociale. La question reste ouverte : cette réforme pourra-t-elle créer un système fiscal plus équitable pour tous ?
L’analyse économique de la reforme fiscale : avis du MEDEF, CGPME et U2P
Les analyses économiques sont au cœur du débat sur l’universalité de l’impôt. Le MEDEF et la CGPME, associés à l’Union des entreprises de proximité et à d’autres instances, soulignent l’importance de revoir les règles actuelles pour assurer une compétitivité accrue tout en garantissant plus de justice fiscale. L’impôt sur le revenu, tel que proposé, doit être perçu non seulement comme un outil de financement de l’État, mais aussi comme un instrument de redistribution des richesses.
Les économistes avancent plusieurs arguments en faveur de l’universalité : la simplification du système, qui permettrait de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la transparence, et la création d’un cadre de responsabilité partagé par tous les foyers. Ces points ont été discutés lors de diverses conférences et médiatisés par des sites spécialisés, comme un récent article sur 20 Minutes.
En détaillant la proposition, plusieurs points clés se dégagent :
- Uniformisation fiscale : L’impôt serait basé sur une assiette commune, garantissant une équité dans les contributions.
- Compensation sociale : Des mécanismes de redistribution seraient mis en place pour protéger les foyers les plus modestes.
- Sécurisation de l’économie : Un système fiscal simplifié permettrait une meilleure prévision des recettes pour l’État.
Les débats actuels incluent également des analyses comparatives avec des modèles fiscaux internationaux. En examinant les expériences d’autres nations, les experts mettent en avant l’applicabilité de certaines mesures en France. Par exemple, certains pays nordiques appliquent déjà des systèmes d’imposition similaires, qui contribuent à une cohésion sociale renforcée.
Voici un tableau comparatif des principaux indicateurs économiques observés dans deux systèmes fiscaux :
Indicateur | Système actuel | Système universel |
---|---|---|
Nombre de niches fiscales | Multiples et complexes | Réduit à l’essentiel |
Taux moyen de contribution | Variable selon les foyers | Uniforme et prévisible |
Coût de gestion administrative | Élevé | Réduit de 30% |
Les retombées positives attendues incluent une meilleure répartition des richesses, diminuant ainsi les tensions sociales. Toutefois, certains experts appellent à une prudence dans l’implémentation. Par exemple, la Confédération des PME et l’APCE recommandent une phase de transition progressive pour éviter toute perturbation majeure de l’économie.
Une vidéo explicative rend compte de ces débats complexes et propose des témoignages d’économistes reconnus :
En parallèle, un article publié sur média spécialisé souligne l’importance de considérer cette réforme comme un levier pour moderniser l’État-providence. Au fil des réflexions, la mise en place d’un système fiscal universel se présente à la fois comme une solution innovante et un défi de taille. Il est ainsi essentiel d’intégrer les recommandations de tous les acteurs impliqués, y compris ceux de U2P et de la CGPME.
En conclusion partielle, la modernisation de l’impôt sur le revenu s’inscrit dans une logique de simplification et d’équité. Les décideurs sont invités à approfondir ces modèles afin d’établir un système résilient face aux défis économiques. La route vers un impôt plus universel reste semée d’embûches, mais l’enjeu de la justice fiscale incite à s’engager dans cette transformation. Pour des conseils sur la déclaration de revenus et les nouvelles modalités fiscales, consultez également guide pratique pour impôts 2025.
L’analyse économique, soutenue par de multiples acteurs, offre ainsi une vision globale et structurée des enjeux liés à l’universalisation de l’impôt sur le revenu. Ce débat ne se limite pas aux chiffres, mais concerne l’ensemble de la société, appelant à une réflexion profonde sur la justice et la solidarité.
L’impact sur les foyers et les inégalités sociales : retour d’expérience selon les conseils de la CFTC et de la FNSEA
La réforme fiscale proposée par la CPME soulève des inquiétudes légitimes concernant son impact sur les foyers, notamment ceux situés en bas de la pyramide de revenus. La perspective d’un impôt universel est susceptible de provoquer une réorganisation profonde des mécanismes de redistribution, avec des répercussions importantes sur la vie quotidienne des citoyens.
Les syndicats et fédérations, dont la CFTC et la FNSEA, insistent sur la nécessité d’adapter la réforme aux réalités des générations les plus défavorisées. En effet, les ménages modestes pourraient se retrouver en difficulté en cas de rigidification d’un impôt universel, si aucune compensation sociale n’est prévue. Cette problématique a été évoquée dans divers médias économiques, comme le souligne un article spécialisé.
Divers exemples concrets montrent que l’adhésion de certains foyers aux nouvelles règles pourrait nécessiter des ajustements progressifs. Voici quelques points essentiels à retenir :
- Sensibilité aux variations de revenus : Les foyers à faibles revenus devront bénéficier d’un mécanisme de compensation.
- Simplification des démarches : Une refonte du système de déclaration permettrait d’alléger les formalités administratives.
- Adaptation locale : Les territoires moins favorisés devront être pris en considération dans l’élaboration du cadre universel.
Ces constats invitent à une réflexion sur la manière de concilier l’équité fiscale et la protection sociale. Un travail minutieux des experts et une concertation avec les syndicats s’avèrent indispensables. Une stratégie d’accompagnement pourrait inclure des aides personnalisées, une baisse d’impôts pour les ménages les plus vulnérables et une refonte des outils de déclaration.
Le débat porte également sur les implications économiques de l’universalisation dans un contexte de mondialisation. Les disparités sociales et régionales pourraient être exacerbées si la réforme n’intègre pas des mesures de contrepoids. Pour mieux appréhender ces enjeux, il est utile d’examiner les indicateurs suivants :
Indicateur | Situation actuelle | Potentiel impact |
---|---|---|
Part des foyers bénéficiaires d’aides sociales | Variable selon les régions | Risque d’inégalités accrues |
Niveau de formalités administratives | Complexe et fastidieux | Simplification attendue |
Accès à l’accompagnement personnalisé | Inégal | Mise en place de dispositifs ciblés |
Les retours d’expérience de territoires ayant déjà expérimenté des mesures de solidarité fiscale sont essentiels pour ajuster la réforme. Des initiatives locales coordonnées par des experts ont démontré qu’une politique d’accompagnement permettait de réduire les impacts négatifs pour les foyers précaires. Une étude de cas menée dans une grande métropole française a révélé que des dispositifs d’aide à la déclaration et des réductions temporaires pouvaient réduire de 20 % la perte de pouvoir d’achat des ménages modestes.
La complexité de l’impôt sur le revenu ne se limite pas aux montagnes de documents administratifs. Elle met en scène un équilibre délicat entre simplification et adaptation aux réalités sociales. Parmi les sources d’inspiration pour la réforme, le modèle adopté dans certains pays européens et des conseils pratiques, comme les nouveautés sur la taxe d’habitation, jouent un rôle prépondérant.
Une réflexion collective, impliquant des organismes tels que la CFTC et la FNSEA, est indispensable pour garantir la cohérence et l’équité du projet. La réforme fiscale doit atteindre un équilibre entre efficacité économique et justice sociale. Un discours responsable et une adaptation constante aux réalités du terrain permettront de répondre aux attentes de tous les acteurs concernés.
Pour clore ce volet sur l’impact social, il est important de prendre conscience qu’un impôt réellement universel ne peut se faire sans une répartition équitable des efforts. La transformation du système fiscal pourrait, en définitive, redonner confiance à de nombreux citoyens et contribuer à une meilleure cohésion nationale.
Les discussions actuelles laissent présager d’importantes évolutions dans la prochaine décennie. La route reste longue, mais les efforts pour simplifier et harmoniser l’impôt sur le revenu s’inscrivent dans une dynamique d’inclusion sociale essentielle pour demain.
Comparaison historique et internationale du système fiscal : perspective selon la Confédération des PME et l’APCE
L’analyse du nouveau modèle fiscal proposé par la CPME s’inscrit dans un contexte historique complexe et internationalement diversifié. La comparaison avec les systèmes fiscaux d’autres pays offre des éclairages précieux pour comprendre les enjeux auxquels la France est confrontée. Des entités telles que la Confédération des PME et l’APCE rappellent que l’évolution des contributions fiscales a toujours été le reflet des mutations économiques et sociales.
Dès le début du XXe siècle, les systèmes d’imposition ont évolué pour répondre aux besoins d’une société en pleine mutation. Le modèle actuel, souvent critiqué pour sa complexité, est aujourd’hui remis en question par une proposition audacieuse de généraliser l’impôt sur le revenu. Cette approche vise non seulement une meilleure transparence, mais aussi une redistribution plus équitable des richesses.
La comparaison internationale montre que plusieurs pays ont opté pour des systèmes fiscaux simplifiés, adaptés aux évolutions du marché globalisé. Parmi ces innovations, on peut citer :
- La flat tax : Un taux unique appliqué sur l’ensemble des revenus dans certains pays.
- La simplification des niches fiscales : Réduction drastique des déductions afin d’alléger la charge administrative.
- Le renforcement de la solidarité : Mécanismes de redistribution pour compenser les inégalités régionales ou sociales.
En outre, la réflexion sur la transformation fiscale nécessite la prise en compte des spécificités locales. Dans ce cadre, l’APCE a engagé plusieurs études comparatives afin de mesurer l’impact de réformes similaires à l’échelle européenne. Ces analyses suggèrent que l’universalisation de l’impôt pourrait stimuler une meilleure cohésion sociale tout en renforçant la compétitivité économique. Un article détaillé sur ce sujet est disponible sur les innovations fiscales internationales.
Pour mettre en perspective ces réflexions, il est intéressant de consulter un tableau récapitulatif des différences entre le système fiscal français actuel et les modèles internationaux :
Critère d’analyse | Système français actuel | Modèles internationaux |
---|---|---|
Complexité administrative | Nombreuses niches et exceptions | Processus simplifiés et standardisés |
Équité sociale | Inégalités persistantes | Systèmes redistributifs marqués |
Adaptabilité | Lente à évoluer | Réformes fréquentes et réactives |
L’enjeu principal d’une réforme universelle n’est pas seulement d’augmenter les recettes de l’État, mais également d’encourager une politique de redistribution plus juste. Les expériences de pays ayant adopté des systèmes d’imposition plus simples montrent une amélioration notable de la satisfaction des contribuables et une réduction des coûts de gestion administrative.
Les débats actuels s’appuient sur des études de cas, des données économiques et une comparaison avec des pratiques historiques. De plus, la collaboration entre experts internationaux et organismes nationaux offre une approche multidimensionnelle. Dans ce contexte, la mémoire des réformes passées joue un rôle crucial. Par exemple, la transformation des systèmes fiscaux après des crises économiques majeures a toujours permis de redéfinir les rapports entre l’État et ses citoyens.
Pour continuer à explorer ces perspectives, il est intéressant d’observer les récentes actualités sur les propositions de réforme fiscale, qui mettent en avant l’importance d’un dialogue constant entre les différents acteurs. La synergie entre la Confédération des PME et des acteurs comme l’APCE pourrait faire émerger un consensus indispensable pour moderniser durablement le système.
Ces comparaisons historiques et internationales renforcent l’idée qu’un impôt plus universel et uniforme serait une réponse aux défis économiques contemporains. La volonté de repenser le système fiscal sous un angle global apparaît ainsi comme une stratégie incontournable pour répondre aux mutations de notre société.
En somme, la vision d’un impôt sur le revenu universel, inspirée à la fois par des expériences étrangères et par la nécessité d’une adaptation locale, propose une approche novatrice. Ce projet, soutenu par la Confédération des PME et l’APCE, pourrait redéfinir les normes fiscales actuelles et créer un cadre plus juste et efficace pour l’avenir.
Réactions des acteurs économiques majeurs : positionnement de la FNSEA, de la Confédération des PME et de l’APCE
La proposition de généraliser l’impôt sur le revenu n’échappe pas à l’attention des principaux acteurs économiques. Des organismes tels que la FNSEA, la Confédération des PME et l’APCE se prononcent sur les implications pratiques de cette réforme. Leur analyse repose sur la recherche d’un équilibre entre modernization du système fiscal et préservation des acquis sociaux.
Les responsables de la FNSEA soulignent que la mise en place d’un impôt universel doit prendre en compte les réalités du terrain, en particulier dans le secteur agricole et rural. Ils défendent une approche qui intègre des mécanismes de soutien spécifiques afin de ne pas pénaliser les zones moins développées. De même, la Confédération des PME insiste sur l’importance de protéger le pouvoir d’achat des petites entreprises et des travailleurs indépendants. Ces points de vue, relayés par l’APCE, illustrent la diversité des intérêts en présence.
Pour structurer leurs arguments, ces acteurs mettent en avant plusieurs axes :
- Sécurité économique : Assurer la stabilité des revenus tout en favorisant une transition vers des règles plus simples.
- Soutien aux secteurs vulnérables : Mettre en place des dispositifs spécifiques pour les acteurs du milieu rural et des petites entreprises.
- Équilibre entre innovation et continuité : Réformer le système sans dénaturer les acquis qui protègent déjà de nombreux foyers.
La diversité des réactions permet d’appréhender la complexité de la réforme proposée. D’un côté, l’impôt universel est vu comme une avancée significative vers l’équité fiscale. De l’autre, certains craignent qu’une application rigoureuse sans mesure compensatoire puisse aggraver les inégalités.
Un tableau synthétique permet de visualiser les points de convergence et les divergences entre les différents acteurs :
Acteur économique | Position sur la réforme | Préconisations principales |
---|---|---|
FNSEA | Soutien mesuré | Accompagnement des zones rurales, dispositifs de transition |
Confédération des PME | Réforme prudente | Protection du pouvoir d’achat, simplification sans alourdissement |
APCE | Engagement progressif | Modernisation avec mesures d’accompagnement ciblées |
Les analyses montrent que l’impôt sur le revenu universel présente des avantages tangibles, notamment une meilleure transparence et une simplification des procédures fiscales. Toutefois, le défi consiste à adapter la réforme aux spécificités de chaque secteur. Pour illustrer l’importance de cette adaptation, une liste des recommandations essentielles émane des discussions est la suivante :
- Établir un barème progressif qui tient compte de la diversité des revenus.
- Mettre en place des aides spécifiques pour les secteurs vulnérables, notamment dans l’agriculture et les PME.
- Respecter un calendrier de transition afin d’éviter des perturbations économiques majeures.
Des experts économiques et des responsables de grandes entreprises, tels que ceux appartenant à des groupes comme MEDEF et CGPME, insistent sur une mise en œuvre progressive. Ils évoquent le cas de certaines réformes menées à l’international où des phases pilotes ont permis d’affiner les mécanismes avant une généralisation complète.
Une analyse sur ces points a récemment été diffusée dans un reportage diffusé sur un média économique spécialisé, qui détaille les attentes des différents acteurs du secteur privé et public.
Au-delà des discussions sur les mécanismes fiscaux, cette proposition implique également une réévaluation des relations entre l’État et les contribuables. La modernisation des outils de gestion fiscale, via par exemple des plateformes numériques adaptées, est envisagée pour faciliter la transition. Les contributions de la Confédération des PME et de l’APCE viennent appuyer la nécessité d’une réforme technologique parallèle. Une telle modernisation a déjà été amorcée dans certains secteurs, comme le montre un guide sur les nouvelles dates fiscales.
Pour renforcer l’engagement des parties prenantes, une vidéo de témoignages d’entrepreneurs et de responsables syndicaux a été récemment publiée :
Les échanges restent vifs, à l’image d’une discussion passionnée lors d’une conférence récente organisée par des experts économiques. La question demeure : comment parvenir à harmoniser un système qui doit à la fois être juste et propice au dynamisme économique ? La réponse, selon les experts, résiderait dans un dialogue constant entre l’État et les acteurs privés, permettant ainsi d’ajuster le dispositif en temps réel.
Les exemples concrets et les préconisations mettent en exergue que la réussite d’une réforme fiscale repose sur une écoute attentive et un accompagnement personnalisé pour chaque secteur. C’est l’espoir que nourrit l’ensemble des acteurs concernés, qui voient en cette réforme une chance de moderniser durablement le système fiscal français.
Les débats actuels montrent que, malgré des divergences d’opinion, la volonté de construire un système fiscal plus solide et plus inclusif est partagée par la plupart des acteurs économiques. La transformation envisagée offre ainsi un potentiel de modernisation et d’équité qui pourrait redéfinir le lien entre citoyens et État.
Les perspectives d’avenir et les ajustements post-implémentation : vision selon l’Union des entreprises de proximité et le FNMV
Alors que la réforme de l’impôt sur le revenu universel gagne en popularité dans les cercles économiques, des projections sur ses impacts futurs et son adaptation post-implémentation se dessinent. L’initiative de la CPME offre un cadre cadre innovant qui sera examiné au fil du temps par des organisations telles que l’Union des entreprises de proximité et le FNMV. Ces perspectives esquissent un avenir où l’impôt se veut à la fois équitable et moteur de progrès social.
Pour saisir pleinement les enjeux, il est utile de considérer quelques points essentiels envisagés pour l’après-implémentation :
- Adaptabilité du système : Une réforme qui devra être ajustée au rythme des évolutions économiques et sociales.
- Innovation technologique : La digitalisation des déclarations et des contrôles fiscaux pour plus d’efficacité et de transparence.
- Dialogue social renforcé : La mise en place d’instances de suivi réunissant représentants des citoyens, syndicats et acteurs économiques majeurs.
Les ajustements envisagés incluent également des périodes de révision et de feedback, permettant aux décideurs d’analyser les retombées de la réforme. Ainsi, des rapports réguliers seront publiés, accompagnés d’une analyse détaillée des performances du système. Ces rapports devraient permettre de mesurer concrètement l’impact sur la redistribution des richesses et la réduction des disparités régionales.
Dans ce contexte d’évolution, le leadership des groupes représentatifs, tels que Union des entreprises de proximité et FNMV, est crucial pour une mise en œuvre réussie. Ces organismes travaillent main dans la main avec le gouvernement afin d’identifier les zones d’amélioration et de proposer des mesures complémentaires adaptées aux spécificités des différents territoires.
Pour appuyer cette vision d’avenir, la réflexion s’articule autour de plusieurs axes prioritaires :
- Évaluation périodique : Réaliser des bilans semestriels pour ajuster les mécanismes en fonction des résultats obtenus.
- Promotion de l’innovation : Encourager l’adoption de technologies de pointe afin de simplifier les procédures fiscales.
- Renforcement du lien social : Mettre en place des plateformes d’échange entre l’administration fiscale et les citoyens pour recueillir leurs avis et suggestions.
Des prévisions économiques récentes, disponibles sur les informations sur le remboursement d’impôt, indiquent que la réforme pourrait, sur le long terme, aboutir à une meilleure stabilité financière pour l’État et une répartition plus juste des contributions.
Une étude de cas menée dans une région dynamique de France a montré qu’après l’introduction de mesures similaires, les citoyens bénéficiaient d’un accès facilité aux services publics et d’un environnement fiscal plus transparent. Ces résultats, intégrés dans un tableau synthétique, permettent de visualiser les avantages potentiels :
Aspect | Situation initiale | Après réforme |
---|---|---|
Transparence administrative | Complexe et opaque | Améliorée par la digitalisation |
Accessibilité des services | Variable selon les régions | Uniformisée et facilitée |
Satisfaction des citoyens | Modérée | En forte hausse |
Les retours des entrepreneurs et des citoyens, souvent recueillis lors de tables rondes, soulignent également l’importance d’un suivi constant. Une communication transparente et régulière permettra de clarifier les ajustements nécessaires et d’assurer ainsi que la réforme réponde efficacement aux attentes de chacun.
La mise en œuvre de ces ajustements post-réforme se veut participative. Des entrevues avec des représentants d’organisations telles que MEDEF et CGPME démontrent que la concertation avec le monde économique donne lieu à l’élaboration de solutions pragmatiques. Ces échanges, tout en étant techniques, privilégient une approche humaine et proche des réalités du terrain. Un récent reportage abordé dans la presse spécialisée témoigne de cet engagement audacieux.
La transformation du système fiscal français, par le biais d’un impôt sur le revenu universel, ouvre donc la voie à une modernisation inclusive et évolutive. La vision à long terme repose sur une capacité d’adaptation et une volonté de créer un dialogue permanent entre l’État et les contribuables. Les retombées positives ne se mesureront pas uniquement en termes financiers mais également en termes de cohésion sociale et d’équité nationale.
En définitive, l’avenir repose sur un équilibre entre innovation technologique, adaptation sociale et écoute des besoins locaux. L’Union des entreprises de proximité et le FNMV, aux côtés d’autres grands acteurs, renforceront leurs collaborations pour transformer chaque défi en opportunité. Les ajustements post-implémentation permettront d’affiner les mécanismes et d’assurer la pérennité d’un système fiscal innovant et solidaire.
La vision pour demain est celle d’un système fiscal en constante évolution, où chacun trouve sa place dans le partage des responsabilités. Un avenir où la solidarité et l’innovation se conjuguent pour bâtir un modèle d’impôt sur le revenu plus juste, et où les acteurs économiques travaillent ensemble pour garantir la stabilité et la prospérité de la nation.